ILAT – Récapitulatif des indices des loyers des activités tertiaires depuis 2010

ILAT – Evolution de l’indice depuis 2012 (version 2022.03.25)

ILAT – Evolution de l’indice depuis 2012 (version 2021.12.28)

ILAT – Evolution de l’indice depuis 2012 (version 2021.09.27)

ILAT – Evolution de l’indice depuis 2012 (version 2021.06.25)

ILAT – Evolution de l’indice depuis 2012 (version 2021.03.28)

ILAT – Evolution de l’indice depuis 2010 (version 2020.12.22)

ILAT – Evolution de l’indice depuis 2010 (version 2020.09.30)

 

ICC – Récapitulatif des indices du coût de la construction depuis 2007

ICC – Evolution de l’indice depuis 2012 (version 2022.03.25)

ICC – Evolution de l’indice depuis 2012 (version 2021.12.28)

ICC – Evolution de l’indice depuis 2012 (version 2021.06.28)

ICC – Evolution de l’indice depuis 2007 (version 2020.12.22)

ICC – Evolution de l’indice depuis 2007 (version 2020.09.30)

ICC – Evolution de l’indice depuis 2010 (version 2020.04.04)

ILC – Récapitulatif des indices des loyers commerciaux depuis 2010

ILC – Evolution de l’indice depuis 2012 (version 2022.03.25)

ILC – Evolution de l’indice depuis 2012 (version 2021.09.27)

ILC – Evolution de l’indice depuis 2012 (version 2021.06.28)

ILC – Evolution de l’indice depuis 2012 (version 2021.03.25)

ILC – Evolution de l’indice depuis 2010 (version 2020.12.22)

ILC – Evolution de l’indice depuis 2010 (version 2020.09.30)

ILC – Evolution de l’indice depuis 2010 (version 2020.04.04)

 

Hausse du télétravail, moins de m2 de bureaux nécessaires pour l’entreprise ?

Après plusieurs mois de confinement, le télétravail n’aurait-il pas gagné de nouveaux adeptes ? Même des dirigeants d’entreprises pourtant réfractaires jusqu’en mars 2020 ont pris conscience que leurs collaborateurs pouvaient être tout aussi efficaces à distance, sinon plus !

Sans doute est-ce le moment d’envisager un renforcement du télétravail non-contraint et d’entamer une réflexion sur les besoins réels en m2 de bureaux indispensables à l’activité.

Entre les RDV et les déplacements sur +sieurs jours, les absences de tous pour quelque cause que ce soit (congés et nombreux RTT), les temps partiels et désormais l’incontournable télétravail, il y a de – en – de monde dans les bureaux au même moment.

Qui dit réduction de la superficie des bureaux dit également réduction du nombre de places de stationnement et donc diminution des loyers et charges pour l’entreprise. La bonne question qu’il faut alors se poser est de savoir combien de collaborateurs seront potentiellement présents en même temps dans les bureaux à partir de septembre 2020.

A mon avis, pas plus des 3/4 de l’effectif global, pour ne pas dire des 2/3 avec un passage au bureau à raison de 2 ou 3 fois par semaine seulement ! Bon potentiel d’économies en perspective !

Locataires commerçants, négociez vos LOYERS et CHARGES exigibles en cette période de cessation ou de réduction d’activité liée au Covid-19

Avec les fermetures administrative imposées du 17 mars au 10 mai 2020, puis en novembre 2020 pour cause de Covid-19, nombre de commerçants ont été contraints d’arrêter leur activité ou de limiter l’accès de leur commerce à la clientèle, réduisant ainsi considérablement leur chiffre d‘affaires. D’autres exploitants n’ont pas encore été autorisés à réouvrir leur commerce, ce qui aggrave leur situation économique.

S’il est vrai que certains bailleurs (rares) ont annoncé l’abandon pur et simple des loyers exigibles pendant la période d’inactivité ou d’activité réduite, cette décision ne concerne malheureusement pas tous les commerçants-locataires dont le loyer net, ainsi que les charges locatives et de copropriété refacturées, constituent souvent un revenu indispensable à leurs bailleurs (personnes physiques ou SCI familiales).

Bien entendu, les bailleurs « particuliers » sont également invités par le Gouvernement à faciliter l’étalement des loyers et charges de leurs locataires commerçants mais il est très probable qu’ils n’annuleront pas la dette locative de ces derniers, acceptant d’échelonner leurs remboursements sur la période … la plus courte possible.

A l’inverse, l’intérêt des commerçants sera bien évidemment d’obtenir un échéancier sur une période de temps suffisamment longue pour leur permettre de redresser la situation et de ne pas pénaliser la survie de leur exploitation !

La période actuelle doit donc être mise à profit par les exploitants pour préparer leur argumentaire en vue d’une négociation à intervenir dans les semaines à venir, en fonction de la durée d’inactivité et/ou des pertes subies.

BAROUILLET Conseil reste à votre entière disposition pour vous assister également dans cette démarche !

Covid-19 et garantie « perte d’exploitation » : après les périodes de fermeture administrative, la vérification de la clause « perte d’exploitation » du contrat d’assurance pourrait se révéler judicieuse !

A l’issue des fermetures administratives imposées du 17 mars au 10 mai 2020 puis en novembre 2020, pour cause de Covid-19, nombre de commerçants voient leur chiffre d‘affaires se réduire considérablement. A ceux-là, il convient d’ajouter ceux dont l’ouverture n’est pas encore autorisées en cette fin 2020 (bars et restaurants, salles de spectacles et de sport …).

Certains bailleurs (rares) ont annoncé l’abandon pur et simple de tout ou partie des loyers et charges exigibles pendant la période d’inactivité ou d’activité réduite. Pour autant, cette opportunité ne concernera malheureusement pas tous les commerçants-locataires et une nouvelle négociation doit s’engager sans tarder !

Quoi qu’il en soit, cette baisse d’activité ou cette absence totale de chiffre d’affaires constituent bien un sinistre pour le commerçant. Ainsi, si elle a été souscrite, la garantie « perte d’exploitation » peut éventuellement permettre à l’exploitant d’être couvert contre ce risque et de pouvoir bénéficier du versement d’une indemnité par son assureur, afin de rétablir la situation financière telle qu’elle était à l’origine … ou d’y contribuer.

Il est donc très important que chaque commerçant se reporte aux conditions générales et particulières du contrat d’assurance souscrit pour son activité et vérifie si, par extraordinaire, cette garantie ne lui serait pas acquise en fonction du « pack » souscrit ; notamment s’il a souscrit des options supplémentaires comme, par exemple, l’acquisition de la garantie perte d’exploitation en cas de cessation d’activité pour cause de décision administrative. Cette simple vérification pourrait au final se révéler judicieuse mais ne saurait éviter de se préparer à négocier avec son bailleur !

BAROUILLET Conseil reste à votre disposition pour vous assister !